Assistance juridique pour les affiliés canadiens

Politique du Conseil d’administration adoptée en janvier 1998 et révisée en mai 2004.

Le processus d’assistance juridique doit être effectué par le vice-président du district canadien de l’AIP. La demande écrite doit contenir tous les détails de la situation et être transmise à l’adjoint du président général pour les opérations canadiennes. Le vice-président de district canadien et adjoint au président général examinera la demande et fera une recommandation au président général si une telle demande correspond aux critères de la prestation de services juridiques. Encore une fois, cette consultation doit avoir lieu car il existe un bassin de fonds limité pour l’offre de ces services, comme le stipule la résolution 48 [adopted at the 1996 IAFF Convention] , et l’équité et la pertinence doivent dicter dans chaque scénario.

Les questions d’importance nationale ou de pertinence pour les affiliés canadiens peuvent provenir du bureau canadien. Voici des exemples de ces situations, qui justifieraient l’assistance :

  • une question qui aurait un effet sur les sociétés affiliées canadiennes avec une province ou à l’échelle nationale ;
  • un affilié qui souhaite obtenir un deuxième avis sur la question de savoir si la ligne de conduite de son propre conseiller juridique est appropriée ou justifiée ; un affilié qui prévoit une action en justice substantielle et prolongée contre son employeur ;
  • une rupture grave de la négociation collective qui nécessiterait une expertise juridique spécialisée.

Ce qui précède indique clairement que l’offre de l’assistance juridique n’est pas destinée à s’appliquer chaque fois qu’une société affiliée est impliquée dans une action en justice, mais qu’elle s’applique aux situations uniques et inhabituelles où l’occasion d’avoir un nouvel examen ou un second regard sur une situation factuelle donnerait des résultats bénéfiques. La liste n’est pas exhaustive, mais devrait servir de ligne directrice ou de point de repère pour les situations qui seraient admissibles à l’aide juridique.

Une fois qu’un affilié a reçu la confirmation du bureau canadien que sa situation particulière est admissible à de l’aide, le président de l’affilié ou son délégué communiquera avec le cabinet d’avocats retenu par l’AIP pour fournir tous les détails du scénario et répondre à toutes les questions du cabinet d’avocats. La réponse écrite du cabinet d’avocats sera envoyée au vice-président du district canadien, et une copie sera envoyée au président général, à l’adjoint du président général pour les opérations canadiennes et à la personne affiliée.